Y-a-t-il un twit dans l’assemblée?

Les députés, les nôtres et ceux de partout dans le monde, semble adopter Twitter à une vitesse  impressionante.

L’apprentissage ne se fait pas sans erreur et certains députés paient leur liberté de « twitter » un peu cher. C’est le cas de ce député de l’UMP à qui on a fermé la porte d’un huit clos suite à certaines informations qui seraient sorties grâce à ce dernier lors d’un huit clos précédent.

Plus près de nous, des événements semblables remettent en question l’utilisation de Twitter mais aussi de ce qui est convenable de partager sur les plateformes de micro-bloggage quand on est député.

Tout ça mets de la pression sur le contrôle que tentent d’exercer les partis sur l’information. Se dira-t-il de moins en moins de choses en caucus de peur qu’un « twit » soit dans l’assemblée?